mercredi, mai 10, 2006

Pause…café?

Conférence de presse avec le ministre de la défense, Rumsfeld:
Question : …Etant donné les erreurs commis avant la guerre, à quel point faites-vous confiance aux les rapports que vous recevez concernant la capacité mais aussi les plans nucléaires de l’Iran ? Pourquoi est-ce que le peuple Américain, étant donnés les échecs d’avant la guerre de l’Irak, devrait faire confiance à ce que vous recevez des services de renseignement ? Rumsefled : Le – bien, attention, parlons en. Les services secrets avaient des opinions sur l’Irak. Cette information était rendue disponible au président, à moi, c’était la même information qu’avaient Colin Powell et Condi Rice, quand ils ont travaillé dessus, avec George Tenet, pour la présentation devant l’ONU. C’est l’information qu’avait le Congrès des Etats-Unis aussi. D’autres pays l’avaient et en avaient tirés la même conclusion. Elle s’est avérée être fausse, cette information. Bon d’accord. C’est dur comme métier [le renseignement militaire]. C’est dur d’avoir raison tout le temps. Et le renseigenemnt n’etait pas correcte. Est-ce que ça vous oblige à faire une pause ? Bien entendu…et comment !
Faire une pause ? C’est tout ? Bien méritée la pause… En anglais:
Q A follow-up? A specific on an intelligence question, last week the issue of pre-war intelligence came up again in Atlanta. You dealt with that as you did. Go -- looking forward, given the pre-war intel failures on Iraq, how confident are you on all the assessments you've been getting about Iran's not only nuclear capability, but intent? Why shouldn't the American people, given the pre-war failures in Iraq, be confident in what they're getting from the intelligence community on Iran? SEC. RUMSFELD: The -- well, let's just take a minute on that. The intelligence community had views on Iraq. That information was available to the president, to me, it was the information that was available to Secretary Colin Powell and Condi Rice, when they and George Tenet worked on his presentation for the United Nations over a period of many days. It was the intelligence information that was available to the Congress of the United States. It was available to other countries that had exactly the same view that we all did. It turns out it was wrong -- that intelligence. Fair enough. It's a tough business. It's a difficult thing to be right all the time. And the information was not correct. Does that give one pause? You bet.
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